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La Citroën chenillette Kégresse P7 bis (dénomination non officielle) est une évolution dans le système de propulsion à chenille Kégresse-Hinstin. La bande de roulement en caoutchouc moulé est remplacée par un dispositif plus résistant.
Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo
(doc. Yalta Production)
La Citroën chenillette Kégresse P7 bénéficie d'une amélioration nette du système de traction.
Le pont est avancé au milieu du châssis et l'effort de traction est désormais transmis aux poulies avant et non plus à l'arrière. L'arbre de transmission est plus court, le poids est mieux réparti et l'attaque des obstacles est plus volontaire.
| sortie 1925 | arrêt 1926 |
 Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |  Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |
 Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |  Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |
 Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |  Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo (doc. Yalta Production) |
Type de transmission : Propulsion
La Citroën Kégresse P7 T est propulsée par un moteur de B12, 4 cylindres en ligne à soupapes latérales de 1452 cm3. Il développe 20 ch à 2100 tr/mn (9 cv fiscaux). Il est couplé à une boîte de vitesses à 3 rapports et un réducteur sur le pont arrière.
Le propulseur est pour la première fois à entraînement positif (poulie motrice à l'avant du système).
Ce véhicule présenté dans son état d'origine à Rétromobile 2025 fait partie de la collection de Michel Brunet.
2 versions consultables : Citroën chenillette Kégresse P7 T Forestière | Citroën chenillette Kégresse P7 bis torpédo |
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